Le cabinet a été interrogé par 20 minutes à propos de la décision du maire d’annuler un mariage suite à des abus (infractions au de la route et tirs à blanc) commis par des invités durant la cérémonie. La question se pose en effet de l’articulation des pouvoirs limités du maire en matière de mariage, où il agit en tant que représentant de l’Etat et ne peut s’opposer sans motif valide prévu au code civil à la célébration du mariage, et les pouvoirs du maire en tant que titulaire du pouvoir de police administrative, chargé de faire respecter l’ordre public.
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