Louis Le Foyer de Costil a été interrogé par Libération à propos de la reprise en régie de plages auparavant concédées à des opérateurs privés. Cette démarche, rendue possible par le cadre réglementaire français, permet aux communes de reprendre la main sur l’usage et la gestion de leur domaine public maritime.
Dans certaines régions littorales, et notamment dans les Alpes-Maritimes, cette tendance marque un tournant dans la manière dont les plages sont exploitées. Longtemps dominées par des concessions privées — bars de plage, restaurants, loueurs de transats — ces portions du littoral retrouvent peu à peu leur vocation première : un accès libre et égalitaire pour tous.
L’entretien avec Louis Le Foyer de Costil revient sur les enjeux juridiques, environnementaux et sociaux de ce phénomène. Il souligne que la reprise en régie permet une meilleure maîtrise des activités proposées, une plus grande transparence dans la gestion des lieux, et ouvre la voie à une démocratisation de l’espace balnéaire. Elle offre aussi aux municipalités un levier pour défendre un usage plus respectueux de l’environnement côtier.
L’article complet est à retrouver sur le site du journal Libération :
« Dans les Alpes-Maritimes, des plages privées rendues publiques »