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Droit à l’éducation des enfants TSA

J’ai été interrogé par le Parisien à propos d’un enfant TSA (trouble du spectre autistique) qui a rencontré des problèmes de scolarisation.

« Ce sont des choses qui arrivent fréquemment », note Louis le Foyer de Costil, avocat qui s’est spécialisé en droit de l’éducation. « Parfois certaines combinaisons de spécialités sont difficiles à faire, parfois l’établissement manque de places ou il y a des erreurs. »

Pourtant, il existe une hiérarchie des priorités en cas de demande de dérogation, « mais il arrive qu’elles ne soient pas prises en compte, surtout quand les établissements sont très demandés », souligne l’avocat qui note aussi que quand il s’agit de « confort comme une 3e langue, ça ne passe pas ». D’autant que face à ce type de problème, le rectorat conseille l’enseignement à distance. Une solution qui a été proposée à Quentin pour sa LV2. « Mais, en cas de pathologie par exemple, c’est l’intérêt de l’enfant qui prime » fait remarquer Louis le Foyer de Costil. »

L’article est à lire en ligne:  « On a expliqué qu’il était autiste, mais ils n’ont rien voulu savoir » : Quentin, lycéen, n’a pas de solution pour la rentrée